LEXIQUE ARCHÉOLOGIQUE CHRÉTIEN

 Ce petit vocabulaire peut être utile pour tous ceux qui d’une part n’ont  pas assez de connaissances archéologiques ou symboliques et d’autre part ne partagent pas forcement la foi chrétienne.

Autel: Table située dans le chœur de l’église catholique sur laquelle est célébrée l’Eucharistie, mémorial du repas du Jeudi Saint et du sacrifice de la Croix de notre Seigneur Jésus-Christ. L’usage de l’autel de pierre remonte au VIème siècle. L’autel est consacré par l’évêque au cours de la dédicace.

Âme chrétienne: L’âme (du latin anima, «souffle, respiration») désigne le principe vital de toute entité douée de vie (homme, animal, végétal), pour autant que ce principe puisse être distingué de la vie même. L’Eglise Catholique enseigne que dans l’homme chaque âme spirituelle est immédiatement créée par Dieu au moment de la conception et qu’elle est immortelle: elle ne périt pas lors de sa séparation du corps dans la mort, et elle s’unira de nouveau au même corps lors de la résurrection finale[1].

Antiquité tardive: La notion reste encore chronologiquement ambiguë, mais, en général, on considère qu’elle couvre la période allant des réformes tétrarchiques (fin du IIIème siècle) – peut-être même depuis la fin de la dernière grande dynastie impériale, celle des Sévères (milieu du IIIème siècle) – jusqu’à la «Renaissance carolingienne», qui recrée au début du VIIIème siècle un empire unitaire en Occident[2].

Abside: L’abside, du latin absis (voûte, arcade), est la partie saillante en demi-cercle d’un bâtiment monumental ou privé généralement dans les basiliques romaines. Courante dans l’architecture romaine, cette forme se perpétue dans les églises chrétiennes, et termine le chœur généralement orienté vers l’est, soit par un hémicycle, soit par des pans coupés, soit par un mur plat. «… l’évêque, tenant l’évangile à la main, monta sur son trône qui s’élevait au fond du sanctuaire, en face du peuple. Les prêtres, assis à sa droite et à sa gauche, remplirent le demi-cercle de l’abside. Les diacres se rangèrent debout derrière eux; la foule occupait le reste de l’église»[3].

Byzacène: La Byzacène est un ensemble régional correspondant aux actuelles côtes tunisiennes. En 303, elle devient une province à part entière après la réforme administrative de Dioclétien et se détache de la province d’Afrique. Sa capitale est alors Hadrumète (actuelle Sousse). Elle compte un nombre important de cités à l’instar de Thysdrus (El Jem), Pupput (Hammamet), Leptis minor (Lempta), Ruspina et Acholla (Sfax) et Sufetula (Sbeïtla). Avec la christianisation de l’Afrique du Nord, elle devient le cadre d’une intense activité épiscopale. En 442 ce territoire est officiellement annexé par les Vandales[4].

Baptistère (paléochrétien): (du latin baptisterium «piscine») est un bâtiment chrétien spécifiquement destiné à pratiquer le baptême par immersion. Comportant une piscine baptismale ou une cuve baptismale. Il est au contact ou très proche d’une église ou d’une cathédrale. Ces édifices sont souvent de formes ronde ou polygonale.

Basilique (chrétienne): Quand le Christianisme fut sorti des catacombes, Constantin concéda aux évêques plusieurs basiliques romaines, entre autres celle que le sénateur Lateranus avait fait construire au temps de Néron. Transformée en église, elle devint la première basilique de Saint­ Jean-de-Latran à Rome. C’est à partir de cette époque que le nom de basilique fut donné à certaines églises, anciennes basiliques romaines transformées ou constructions nouvelles établies sur le modèle romain. En Afrique il y aura un modèle particulier de basilique chrétienne[5].

Cathédrale: Une cathédrale est, à l’origine, une église où se trouve le siège de l’évêque (la cathèdre en latin) ayant en charge un diocèse.

Concile: (du latin concilium, assemblée), est une assemblée d’évêques de l’Eglise catholique. Il manifeste une dimension essentielle de toute Église chrétienne: la synodalité ou organisation hiérarchique du corps en vertu de laquelle les évêques chargés du gouvernement de chaque portion de l’Église sont susceptibles de se réunir pour prendre ensemble des décisions qui engagent la foi et la discipline de tous sous l’autorité d’un primat (évêque avec plus d’autorité. De nos jours sous l’autorité du Pape).

Chrisme: Le chrisme est un symbole chrétien formé des deux lettres grecques X et P, la première apposée sur la seconde. Il s’agit des deux premières lettres du mot Χριστός (Christ). On le lit aussi parfois comme le monogramme du Christ, et on le trouve souvent accompagné des lettres Alpha et Oméga. Ces dernières lettres symbolisent le commencement et la fin de tout, étant la première et la dernière lettre de l’alphabet grec.

Catacombes : Les catacombes naissent à Rome vers la fin du IIème et le début du IIIème siècle après Jésus-Christ, avec le pape Zéphyrin (199-217). Les Etrusques, les Juifs et les Romains avaient déjà l’habitude d’ensevelir leurs défunts dans des souterrains mais, avec le christianisme, virent le jour des cimetières beaucoup plus complexes et plus vastes, pour accueillir toute la communauté dans une même nécropole. Le mot antique pour désigner ces monuments est coemeterium, qui vient du grec signifiant «dortoir», en soulignant ainsi le fait que, pour les chrétiens, la sépulture n’est autre qu’un moment provisoire, en attendant la résurrection finale. Le mot catacombe, étendu à tous les cimetières chrétiens, définissait anciennement uniquement le complexe de Saint-Sébastien sur la Via Appia à Rome. La catacombe plus méridionale est celle d’Hadrumetum (Sousse) en Tunisie[6].

Calice: Le calice du mot grec kulix est un vase sacré de la liturgie chrétienne, présentant la forme d’une coupe évasée portée sur un pied élevé. Il est employé dans la célébration eucharistique pour la consécration du vin, devenant ainsi le sang du Christ. Le calice rappelle la coupe de vin de la Dernière Cène de Jésus-Christ.

Christ: (du grec χριστός / christos) est la traduction du terme hébreu Messie, signifiant «l’oint du Seigneur», c’est-à-dire une personne consacrée par une onction divine. Il désigne l’homme-Dieu Jésus de Nazareth, le Messie attendu et consacré par Dieu son Père. Pour cela les chrétiens l’appellent Jésus-Christ.

Crypte: L’étymologie du mot crypte (cacher) indique assez bien sa signification. Les premières cryptes (aussi appelées anciennement crutes, croutes ou grottes) ou grottes sacrées ont été taillées dans le roc ou maçonnées sous le sol, pour cacher aux yeux des profanes les tombeaux des martyrs; plus tard, au-dessus on éleva des chapelles et de vastes églises; puis on établit des cryptes sous les édifices destinés au culte pour y renfermer les corps des saints recueillis par la piété des fidèles[7].

Ciborium: construction destinée à protéger et mettre en valeur un autel catholique ou, spécifiquement, l’armoire où est déposé le ciboire (vase sacré renfermant les hosties consacrées). Le ciborium affecte généralement la forme d’un dais posé sur quatre colonnes. Il peut être en bois, en métal, en pierre, et constituer parfois un véritable édifice. Ce terme est surtout utilisé pour la période antérieure au monde médiéval. À partir de l’époque médiévale c’est le terme «baldaquin» qui est préféré.

Communion: La communion – d’un mot latin qui signifie «uni avec» – désigne le lien spécifique d’union que nous avons avec une autre personne. Pour les chrétiens, il désigne aussi l’union avec Dieu qui se réalise au cours de l’eucharistie, lorsque sont partagés le pain et le vin, corps et sang de Jésus-Christ. La messe est le moment qui privilégie la communion entre tous.

Cratère: type de vase grec antique réutilisé par les artistes chrétiens.

Croix grecque: les branches sont de même longueur et se croisent en leur milieu.

Catéchumène: Un catéchumène (en latin catechumenus, dérivé du grec κατηχοὐμενος «faire retentir aux oreilles», d’où «instruire de vive voix») est une personne adulte qui demande le baptême et suit une formation pour s’y préparer. Ce temps de formation et d’initiation dure autant que nécessaire. Il s’achève généralement à Pâques: au cours de la veillée pascale, le catéchumène reçoit généralement les trois sacrements de l’initiation chrétienne: baptême, confirmation et eucharistie.

Dernière Cène: nom donné par les chrétiens au dernier repas que Jésus prit avec les douze apôtres le soir du Jeudi Saint, avant la pâque, peu de temps avant son arrestation, la veille de sa crucifixion, et trois jours avant sa résurrection. Après avoir mangé la Pâque avec eux, il institua l’Eucharistie et le sacerdoce en disant: «Ceci est mon corps, ceci est mon sang. Faites ceci en mémoire de moi».

Donatistes: Le donatisme est un schisme qui divisa l’Église, en Afrique du Nord, pendant trois siècles et demi, de la fin de la persécution de Dioclétien à l’invasion arabe. Des divergences irréconciliables s’installèrent dans le peuple chrétien sur l’attitude à prendre à l’égard des croyants, voire des évêques qui avaient failli durant la persécution. L’évêque Donat organisa le parti des intransigeants, pour qui la validité des sacrements dépendait de la sainteté des ministres. Du côté catholique, cela contraignit à une réflexion plus approfondie sur les sacrements et la théologie de l’Église, réflexion à laquelle participa grandement saint Augustin[8].

Épitaphes: Une épitaphe (du grec ἐπιτάφιος / epi, «sur» et táphios, «tombeau») est une inscription funéraire, placée sur une pierre tombale, une dalle de marbre, une mosaïque tombale ou un monument funéraire.

Ecritures Saintes: C’est le livre saint des chrétiens, la Bible, la Parole de Dieu.

Evêché: L’évêché est, dans la tradition chrétienne, une communauté que préside un évêque appelée «Église locale». L’évêché généralement comprend: le «siège épiscopal» d’un évêque: une cathédrale (c’est-à-dire le lieu de la cathèdre, ou lieu du siège) avec un baptistère; un évêque successeur des apôtres; les reliques des saints fondateurs; une tradition liturgique; un peuple de fidèles et un territoire canonique (diocèse)[9].

Evêque: Le mot «évêque» provient du mot latin episcopus, lui-même adapté du grec Eπίσκοπος / episkopos qui veut dire «surveillant», c’est-à-dire modérateur, tuteur, responsable d’une organisation ou d’une communauté. Le mot est plusieurs fois utilisé dans les lettres de Saint Paul. Donc un évêque est celui qui a autorité apostolique (successeur des Apôtres de Jésus) sur une Église chrétienne locale. Les évêques assument à ce titre la succession des apôtres qui les ont établis à la tête d’une communauté chrétienne d’un territoire défini[10].

Église paroissiale: Pour les chrétiens une paroisse avec une église paroissiale est «une communauté précise de fidèles qui est constituée d’une manière stable dans une Église particulière ou locale (diocèse ndlr), et dont la charge pastorale confiée au curé, comme à son pasteur propre, sous l’autorité de l’évêque diocésain» (canon du droit canonique 515).

Hérésie: «L’hérésie est la négation obstinée, après la réception du baptême, d’une vérité qui doit être crue de foi divine et catholique, ou le doute obstiné sur cette vérité»[11].

Liturgie: Pour les chrétiens le mot liturgie (du λειτουργία/ leitourgía; «le service du peuple») est l’ensemble des rites, cérémonies et prières dédiés au culte public et officiel de l’Eglise, tels qu’ils sont définis selon les règles éventuellement codifiées dans les textes sacrés ou la tradition de l’Eglise[12].

Martyr et Martyre: Un martyr (du grec μάρτυς/ mártus «témoin») est une personne, qui consent à aller jusqu’à se laisser tuer pour témoigner de sa foi, plutôt que d’abjurer. Mais «Martyr» appartient essentiellement, et à l’origine, à la terminologie chrétienne; il doit être différencié du martyre qui est l’acte même de mise à mort ou les tourments infligés.

Martyrium: Un martyrium est un édifice religieux construit sur un site qui témoigne de la foi chrétienne, soit en se référant à un événement dans la vie ou la Passion du Christ, soit en abritant le tombeau d’un martyr. Il n’a pas à l’origine de plan architectural standard mais il a souvent adopté le modèle architectural des mausolées païens, à plan centré et symétrique[13].

Orant: Un orant (du latin orare, prier), ou priant, désigne, dans l’art religieux, un personnage représenté dans une attitude de prière, avec les mains étendues. La réalisation est fréquemment une sculpture en haut-relief. Il est l’un des éléments de décoration des catacombes ou d’un sarcophage.

Proconsulaire: L’Afrique ou Afrique proconsulaire, est une province romaine qui correspond au territoire naturel de Carthage en Tunisie et à la côte occidentale de la Libye actuelle. Cette province, qui est issue de la réunion de l’Africa Vetus et de l’Africa Nova, est divisée par Dioclétien en trois: la Tripolitaine, la Byzacène et l’Afrique proconsulaire (Carthage)[14].

Pentecôte: (du grec πεντηκοστὴ ἡμέρα «cinquantième jour») est une fête chrétienne commémorant la venue du Saint Esprit cinquante jours après Pâques sur les apôtres de Jésus-Christ et les personnes présentes avec eux dont la Vierge Marie, la mère de Jésus, rapportée dans les Actes des Apôtres. Cette fête tire son origine de la fête juive des Semaines. La célébration chrétienne de la pentecôte est attestée localement à partir du IVème siècle.

Purgatoire: «Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel. L’Église appelle Purgatoire cette purification finale des élus qui est tout à fait distincte du châtiment des damnés»[15].

Paradis: Le paradis est un concept important présenté au début de la Bible, dans le livre de la Genèse. À travers les Pères de l’Église tel que Tertullien ou Saint Jérôme, le latin calque le grec pour désigner le jardin donné à Adam et Ève par Dieu lors de l’épisode de la Création et le «séjour des justes» au Ciel s’opposant à l’enfer. Avec Saint Augustin, le terme en latin évoque dès lors de manière plus imagée et plus large un «lieu de bonheur spirituel auprès de Dieu»[16].

Prêtre: «du grec πρεσβύτερος, qui signifie «ancien», est un homme chrétien qui reçoit au moment de son ordination, par l’imposition des mains de l’évêque, la mission de «rendre présent» le Christ parmi les gens, en particulier par des sacrements comme l’eucharistie (la messe), le sacrement de réconciliation ou du pardon (la confession), le sacrement des malades, en instruisant avec le catéchisme, en accueillant ou en guidant toutes les personnes qui s’adressent à lui»[17].

Primat d’Afrique: La primatie, du latin prima sedes episcoporum, est la dignité d’un «primat», évêque qui possède une suprématie sur tous les évêques et archevêques d’une région. Le terme désigne aussi l’étendue du ressort de la juridiction ecclésiastique du primat, et le siège de cette juridiction. L’Église cathédrale du primat reçoit le titre de «primatiale». Le plus ancien primat fut celui de Carthage, Saint Cyprien, qui présidait aux églises du Nord de l’Afrique. On le trouve mentionné dans les synodes tenus dans cette ville en 390 et en 397. La juridiction de l’évêque de Carthage comme primat d’Afrique couvrait approximativement le diocèse d’Afrique qui comprenait les provinces de Maurétanie Césarienne, Numidie, Carthage, Byzacène et Tripolitaine. Chacune d’elles fut progressivement érigée en province ecclésiastique.

Reliques: Le mot «reliques» vient du latin reliquiae, qui signifie littéralement «ce qui reste» et qui était employé en particulier pour désigner les cendres ou le corps d’un mort. En français moderne, il n’est plus employé que pour désigner le corps des saints, une partie de celui-ci, des objets qu’ils ont utilisés, auxquels l’Église rend un culte de simple vénération[18].

Sarcophage: Le mot français sarcophage vient du latin sarcophagus désignant le tombeau. Il s’agit d’un emploi substantivé de l’adjectif sarcophagus (du grec σαρκοφάγος (sarx désignant la chair, phagein, manger) et veut dire «mangeur de corps ou de chair».

Schisme: «refus de la soumission au Souverain Pontife ou de communion avec les membres de l’Eglise qui lui sont soumis»[19].

Symbologie (chrétienne): «connaissance des symboles, étude et théorie de leur histoire, géographie, sociologie, de leurs formes, types, structures, fonctions»[20]. Application aux symboles chrétiens.   

Symboles eucharistiques: Il s’agit des symboles qui font référence directe ou indirecte au culte eucharistique des chrétiens.


Source: P. Silvio Moreno, IVE, « Une Catechese vivante », archeologie et art chretien au musée du Bardo en Tunisie. FINZI, 2015. 

[1] Cf. Catéchisme de l’Église Catholique, n. 366.            

[2]Cf. DUVAL, Noël, «ANTIQUITÉ – L’Antiquité tardive», Encyclopædia Universalis. http://www.universalis.fr/encyclopedie/antiquite-l-antiquite-tardive/

[3] Cf. CHATEAUBRIAND, F.-R., Les Martyrs ou le Triomphe de la religion chrétienne, t. 2, 1810, p. 199. 

[4] Cf. DECRET, François, Le Christianisme en Afrique du Nord. Paris, Seuil, 1996.    

[5] Cf. DUVAL, Noël, «Basilique chrétienne africaine», in Encyclopédie Berbère, p. 1371-1377.

[6] Cf. Les catacombes chrétiennes, site officiel du Vatican.

[7] Cf. DURAND, M. Paul, Rapport sur l’église et la crypte de Saint Martin au Val, à Chartres. Chartres, 1858.

[8]Cf. LEGRAND, Hervé, «Donatisme», Encyclopædia Universalis. http://www.universalis.fr/encyclopedie/donatisme/

[9] Cf. JACQUEMET, G. Abbé, Tu es Petrus, encyclopédie populaire sur la Papauté. Paris, Bloud & Gay, 1934, p. 210-211.

[10] Cf. Concile Vatican II, Constitution Dogmatique «Lumen Gentium», n. 20-21.  

[11] Cf. Catéchisme de l’Eglise Catholique, n. 2089. 

[12] Cf. BENOÎT XVI, L’esprit de la liturgie. Ad Solem, 2001.

[13] Cf. MARAVAL, Pierre, Lieux saints et pèlerinages d’Orient: histoire et géographie des origines à la conquête arabe. Cerf,‎ 1985.

[14] Cf. CORBIER, Paul et GRIESHEIMER, Marc, L’Afrique romaine : 146 av. J.-C.-439 ap. J.-C. Ellipses, Paris, 2005.

[15] Cf. Catéchisme de l’Eglise Catholique, n. 1030-1032.

[16] Cf. Catéchisme de l’Eglise Catholique, 1re partie, 2e section, chap 3, Article 12 « Je crois à la vie éternelle », II: le Ciel.

[17] Cf. Définition du mot prêtre sur le site de la Conférence des Evêques de France

[18] Cf. MORENO, Silvio, «Le Reliquaire de la Cathédrale de Tunis», Tunis 2014. www.blogcathedraletunis.com 

[19] Cf. Catéchisme de l’Eglise Catholique, n. 2089.

[20] Cf. RIFFARD, Pierre, Dictionnaire de l’ésotérisme, Payot, 1983, p. 322.

[21] MORENO, Silvio, Carthage éternelle; un pèlerinage dans l’histoire et les ruines chrétiennes de Carthage », Tunis, 2013, p. 15-50.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *