BIBLIOGRAPHIE D’AMMAR MAHJOUBI
Professeur émérite des Universités (Tunis) Fournie par lui-même, mars 2003
I Ouvrages :
Recherches d’histoire et d’Archéologie à Henchir el-Faouar, I : la cité des Belalitani Maiores. Thèse de Doctorat d’Etat, Tunis, 1978. Publications de la Faculté des Lettres de Tunis, 550 pages.
II Articles :
Découverte et Identification d’une cité romaine à Henchir El Faouar, C.R.A.I., Paris, 1961, p.380-391. Communication à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres de trois textes épigraphiques exhumés à Henchir El Faouar, près de Béja. Les deux premiers identifient le site ; le troisième permet d’avancer remarques et hypothèses sur les liens qui unissent Liber Pater et Jupiter Sabazios, dont le culte est attesté pour la première fois dans l’épigraphie africaine.
Le thème du labyrinthe et du Minoraure, sur une mosaïque de Belalis Maior. Africa III, 1972, p. 335-342. Comparaison entre les différentes oeuvres, africaines ou non, qui présentent le même thème. Classicisme de l’œuvre de Belalis.
Inscriptions chrétiennes de Henchir el-Faouar ; Mélanges d’histoire ancienne offerts à W. Seston, Paris, 1974, p. 313-326. Publication de quatre épitaphes paléo-chrétiennes de Belalis Maior. Remarques relatives à l’épigraphie chrétienne africaine.
Permanences et transformation de l’urbanisme africain à la fin de l’Antiquité : l’exemple de Belalis Maior. Communication présentée à l’occasion du 150è anniversaire du Deutsches Archëologisches Intitut. Mitteilungen des Deutschen Archëologichen Instituts, 1982, p. 76-83. L’exemple de Belalis Maior illustre le passage progressif de la cité antique à la ville chrétienne puis à la ville arabo-musulmane.
La cité des Belalitani Maiores, exemple de permanence et de transformation de l’urbanisme antique, L’Africa romana, Sassari, 1983, p.63-71.
Une carrière sénatoriale du deuxième quart du IIIè siècle ap. J.-C. (en collaboration avec M. Christol, MEFRA, 99, 1987, 2, p.921-935). Nouveaux commentaires dont fait l’objet une inscription publiée dans l’ouvrage consacré à Belalis Maior et parue dans AE, 1978, 845.
Remarques: Les photos ont été prises par moi-même lors de notre visite archéologique en février 2016. Aujourd’hui le site se trouve dans un lieu privé, mais il est complétement abandonné. Il est indiqué comme « Zone archéologique de El Faouar »
Baptistère de la Basilique chrétienne de Balalis Maior